Comme l'a signalé l'opinion, l'athlétisme a révélé 32 cas de dopage au premier trimestre 2020, le sport leader dans un classement dans lequel les États-Unis sont en tête des pays avec 20 cas de dopage.
Les chiffres proposés par le soi-disant roi du sport contrastent avec ceux du cyclisme, qui n'ont donné que trois cas positifs.
Quant au triathlon, un nouveau cas positif a été enregistré
Il s'agit du montant le plus bas depuis que le Cycling Credibility Movement (MPCC) a lancé le baromètre en 2014, à l'exception des deux cas survenus au cours de cette période de 2018.
Le vélo occupe la douzième position du classement dopage au premier trimestre de l'année, notamment ébranlé par la pandémie de coronavirus.
Ces trois cas, aucun dans le World Tour ou les équipes continentales, sont divisés en un de parcours et deux de VTT, et les protagonistes sont deux femmes et un homme.
Le MPCC se montre "prudent" face à ces "chiffres et bonnes pratiques" du peloton, au repos forcé depuis la mi-mars.
Le nouveau calendrier et la reprise prévue des compétitions UCI pour la deuxième partie de l'année encourage la MPCC à mettre les contrôles antidopage hors compétition dans les meilleurs délais.
Les trois cas de dopage en cyclisme au cours du premier trimestre contrastent avec les 32 collectés en athlétisme, les 16 en haltérophilie, les 8 en football ou les 7 conclus en natation.
Par pays, les États-Unis arrivent en tête du classement des cas de dopage avec 20, suivis de l'Afrique du Sud avec 11, de la Russie avec 9 et du Kenya avec 8. L'Espagne n'apparaît pas dans cette évaluation trimestrielle.