Duathlon de Séville, le plus populaire en Espagne

Le vice-champion du monde Emilio Martín et Sergio Lorenzo commencent comme favoris pour la victoire

Avec à peine cinq ans d'existence, les avocats de López de Castro Duathlon de Séville C'est un événement consolidé sur le calendrier et est déjà devenu une référence dans notre pays. En fait, en raison du nombre de participants et du niveau de ceux qui se battront pour la victoire samedi prochain sur l'Isla de la Cartuja, il n'y a pas beaucoup de compétitions qui soient au niveau de ce qui sera vécu: plus de 700 duathlètes porteront le dossard, Parmi eux, un finaliste de la Coupe du monde comme Huelva Emilio Martín; et le quatrième au monde, le sévillan Sergio Lorenzo

Ce dernier a été, avec María del Mar Sánchez Estrella (conseillère déléguée aux sports de la mairie de Séville), José María Merchán (président de la Fédération andalouse de triathlon et triathlète olympique), Luis López de Castro (directeur-gérant de López de Castro avocats), Pedro Lumbreras (triathlète) et Rubén Álvarez (triathlète) dans la présentation de ce Duathlon d'avocats V López de Castro de Séville qui a eu lieu ce matin dans le bâtiment Laredo.

María del Mar Sánchez Estrella: «Sur les 700 inscrits, plus de 50% viennent de l'extérieur de Séville, ce qui indique qu'il s'agit d'un test accepté dans la ville et à l'étranger également. Cette spécialité sportive a connu une forte croissance, et cela se traduit par l'augmentation des licences fédératives. De l'IMD, nous voulons toujours être proches d'événements aussi importants pour la ville, comme ce duathlon. Avec les athlètes et leurs compagnons, qui profiteront également de la ville, ce qui a un impact sur l'augmentation de l'activité touristique à Séville. C'est une joie de voir comment la participation des femmes a augmenté, à l'approche de la Journée de la femme le 8 mars ».

José María Merchán: «Pour moi, les compétitions qui ont lieu en Andalousie sont le résultat du bon travail que nous faisons. C'est une fierté que ce duathlon soit celui avec la plus grande participation en Espagne. Cela signifie que le travail ici est très bien fait. Nous avons réussi à faire de Séville une référence nationale pour ce sport, et maintenant nous voulons être si internationalement. Nous avons les ingrédients pour y parvenir: participation, public, ville, température ... De plus, nous avons essayé de traiter tout le monde sur un pied d'égalité, et les résultats se voient dans la forte participation féminine, par exemple. De 20 filles il y a 4 ans, nous sommes passés à plus de 100 dans cette édition ».

Luis López de Castro: «Mon cabinet d'avocats souhaite être présent dans ce test car nous croyons aux valeurs de sacrifice qu'exige ce sport. Nous joignons notre nom à celui de l'événement depuis plusieurs années, et cette édition sera spéciale. Parce que j'aimerais que les participants et les membres de la famille se joignent à la lutte contre le cancer. Comme les athlètes, les patients atteints de cancer ont cette capacité à surmonter pour combattre leur maladie. Pour cette raison, je veux cette année surtout être le Duathlon contre le cancer, pas le Duathlon López de Castro. »

Sergio Lorenzo: «Voy de faire de mon mieux pour le test et pour la cause de la lutte contre le cancer. Depuis que j'ai commencé il y a 15 ans j'ai vécu l'évolution de ce sport et il n'est plus nécessaire d'expliquer en quoi il consiste, mais il a un grand impact médiatique et une forte participation ».

Pedro Lumbreras: "S'il y a autant de participants, c'est parce que les choses se font bien au niveau organisationnel et institutionnel. Séville est la meilleure ville au monde pour pratiquer des sports et célébrer des événements sportifs. Le duathlon n'est pas la discipline dans laquelle je performais le mieux, mais je suis compétitif et je vais tout donner. Je souhaite à Sergio et Rubén, en tant que coéquipiers, qu'ils fassent de leur mieux ».

Rubén Álvarez: «Je suis un duathlète stagiaire, ma référence la plus proche est Sergio Lorenzo. Cette année mon objectif est d'acquérir de l'expérience et, pour cela, j'ai de belles références à proximité. Samedi j'essaierai de tout donner, d'enlever l'épine de l'année dernière, qui était la première et je n'ai pas eu une bonne expérience dans les transitions. J'ai plus de confiance pour affronter ce grand test ».

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