Les numéros de Kristian Blummenfelt dans son RoadtoParis 

Au sommet du triathlon mondial, Kristian Blummenfelt, champion olympique en titre, s'apprête à défendre sa couronne aux Jeux olympiques de Paris 2024 avec des chiffres qui défient toute logique.  

Son entraîneur, Olav Aleksander Bu, dans une vidéo publiée sur YouTube, a révélé que les chiffres obtenus lors des récentes phases d'entraînement hivernal sont tellement extraordinaires qu'ils nous ont obligés à repenser le plan de formation pour les mois à venir. 

A été formation au Maroc, où l'altitude de ce pays a joué un rôle crucial dans sa préparation. 

Blummenfelt, qui vise son deuxième titre olympique consécutive, a montré des progrès impressionnants, notamment dans le cyclisme, discipline dans laquelle elle a enregistré des chiffres jamais vus auparavant.  

Ces avancées, selon son entraîneur, sont si importantes qu’elles ont d’abord suscité l’incrédulité, conduisant à des vérifications approfondies pour confirmer leur authenticité. 

Durant l'hiver, Blummenfelt a réalisé des performances en cyclisme et en course à pied qui ont surpris même son entraîneur. 

 En cyclisme, il a fait preuve d’une force et d’une endurance qui dépassent de loin ses précédentes notes.  

Dans la course, il atteint des vitesses et des résistances qui, selon Bu, sont « si élevées, si ridiculement élevées » qu’ils ont d’abord douté de leur véracité. 

Ces chiffres indiquent une augmentation significative de votre capacité aérobie et anaérobie, essentielle au succès du triathlon. 

La préparation de Blummenfelt pour Paris ne vise pas seulement à améliorer ses records personnels, mais également à redéfinir les limites de ce qui est possible en triathlon.  

Avec un état d'esprit axé sur la victoire, le Norvégien a adopté une approche d'entraînement qui allie altitude, innovation technologique et analyse minutieuse de chaque aspect de sa performance. 

J’ai pris 2023 comme année pré-olympique. La tâche principale était de faire le travail pour remporter les Jeux olympiques de Paris en 2024.

Bien sûr, je voulais être un peu plus performant sur courte distance. Je n'ai pas décroché de podium, mais à Hambourg, j'étais assez proche avec une quatrième place sur la distance du super sprint.

"HJe me suis entraîné avec des chiffres que je n'avais jamais vus auparavant, surtout sur le vélo. Ma puissance a beaucoup augmenté cet été, mais je pense que pour être content de la saison 2023 il faudra attendre Paris 2024», commente le Norvégien. dans la vidéo

Il est clair que pour se qualifier pour l'or dans la capitale française, il devra courir le 10 km en 28 :40.

 

Il n'y a pas de résultats précédents.

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